Les premières chaleurs du matin me firent me lever de mon sac de couchage. Kloug tomba de mon ventre, roulant sur le côté. Je ne sais pas si c'était parce qu'il était vexé ou encore assoupi, mais il se mit à roucouler avec de petits sons feutrés. Ses plumes s'ébouriffèrent. Le froid peut être. A moins que je ne l'ai sorti d'un rêve. Aussitôt que je l'eu quittée, ma couche se rapatriait dans mon inventaire. Je ramassais mon oiseau mal réveillé. Ses ailes pendaient mollement et se balançaient à la même cadence que mes gestes. Un regard vers le soleil qui laissait poindre des rayons timides sur les dunes et je me mis en marche. J'allais là où les champs opiacés s'agençaient de façon plus sporadique, où le sol était moins clément. Sur le chemin, je mâchais distraitement une poignée de figues que je partageais avec Kloug. De manger un peu semblait le faire revenir des limbes. Mon esprit aussi se levait de conserve. Mon pas se fit moins chaloupé et zigzaguant. Et la faim d'un quelque chose d'éprouvant se mit à tenailler mon ventre.

J'arpentais la zone, cette faim grandissante, sans trouver de quoi vraiment y remédier. Las des hamsters, des tourmenteurs. L'aridité gagne l'environnement que je foule et je constatais que l'allure des autres joueurs changeait. Le phénomène piquait ma curiosité et c'est comme si ma lame se mit à vibrer dans mon dos.

Les rares lumières qui couraient sur les champs vinrent effleurer la silhouette d'autres créatures. Lumières qui réverbéraient d'une manière que je n'avais jamais observé jusqu'alors. Oui, elle ricochait sur leurs aspérités, jusqu'à m'envoyer quelques éclats directement dans la rétine. Je plissais des yeux à les repérer mais une fois que j'en gardais un dans ma mire, même les paupières closes, je filais tout droit.

Je lâchais Kloug à quelques pas à peine. J'entendais l'oiseau hoqueter de surprise. Sans doute qu'il s'était à nouveau endormi dans mes bras, bercé par le balancement de mes pas. Mais j'avais devant moi un ennemi encore jamais croisé. Tout bardé de pierre et de débris de métaux. Il ne semblait pas agressif au premier abord. Mais dès que je franchissais le cercle tacite de proximité permise, un regain d'animosité fit bouger le monstre. Il s'avérait plus rapide que n'importe quel autre rencontré jusqu'alors. En effet quand je m'attendais à être capable de frapper le premier, je ne réalisais pas dans l'immédiat avec quelle vivacité le golem anticipa mon action et entravait celle-ci en venant écraser son semblant de poing dans mon estomac.
Je valsais à une petite distance de là, mordant le sable. De là, je retrouvais mon souffle, élevé sur mes coudes. La lumière s'évinçait à mesure que le monstre s'avance. À  son approche, je rassemblais mes  forces et parvenais à me hisser sur mes genoux, ainsi, frapper mon adversaire dans un geste continu

Un grondement escaladait ma gorge alors que je m'emparais de mon épée dans mes deux mains. Un genou d'abord puis toute ma carcasse s'élevait du sol. Assez vite pour flanquer la tranche de mon arme contre le buste de ma cible. J'osais faire un pas de plus et enchainer une seconde offensive tant qu'il était prit sous mon joug. La force me manqua pour lui en infliger une troisième et il n'eut même pas à reprendre ses esprits pour me rendre la pareille d'une grosse gifle.

Ma joue irradiait d'une douleur entêtante. Le ciel faisait manège. L'équilibre me fait défaut à cet instant. Toute ma focalisation passe sur mes pieds. Et voyant que tout près, une pierre plate offre son support, j'en profite et plonge en prenant appui. Épée tenue droite, perpendiculaire à mon adversaire. La pointe en figure de proue vient perforer sa croute de fer et le golem éclate en morceaux. Pris dans mon élan, je cours quelques pas au devant avant de planter mon arme au sol, comme un troisième pied. J'articule ma mâchoire endolorie, jète un oeil aux restes de mon combat. Ma main s'empare d'un bloc de mon ennemi... Je l'observe pensivement et, après un crachat par terre, le fourre dans mon inventaire.

Recap:

Ils se montraient revanchards les métaux ambulants. Kloug accourait à ma rencontre et trainant derrière lui un de ces monstres. Je m'avançais aussi vite que mes pieds me le permirent. J'enjambais mon animal et le gardais dans la cage que formaient mes guiboles au dessus de sa tête. De là, j'accueillais mon nouvel adversaire d'un coup franc dans ce qui aurait put être ses côtes. Je sens le sol trembler quand il gronde. Ce qui ne va pas sans m'électriser. L'impression de cogner dans quelque chose de lourd. Assez pour que tout mon squelette choque au dedans de ma peau chaque fois que je porte un coup. Mon bras fait mal comme c'est pas permit. Une grimace étire mon sourire jusqu'à laisser poindre le bout de mes dents effilées. C'est bon.

L'instant de faiblesse profita au golem qui carre deux coups droits sur ma tête. De bas puis de haut. Ma mire vire de bord, je n'ai plus un seul morceau de ciel en vue, seulement mes pieds et le petit Kloug qui a ce regard inquiet, celui qui me chante que je ne peux pas me permettre de faillir cette fois. Je prends une grande inspiration, au point d'avoir la cervelle ivre d'oxygène, oublier que j'ai mal. Dans cet étourdissement, je hisse mon épée dans les airs, frappe le monstre au passage et la rabat vers le sol. J'entaille l'être de pierre en deux coups et parvient à en trancher une part sec. Une épaisse pyramide de glaise et de minerai qui s'écroule dans le sable et avec elle, le reste de la carcasse du vaincu.

Recap:

Au coeur des débris, je prenais le plus luisant d'entre eux, celui affiché comme étant un item consommable. Je m'accroupis par terre, recueille Kloug qui, tout tremblant, se blottit au creux de ma poitrine. J'ignore ce qu'il vient chercher comme ça auprès de moi. Sauf de la nourriture, je ne sais pas ce que les animaux peuvent venir quémander auprès des hommes. Leurs intentions sont plus curieuses encore que les miennes. J'ai beau l'interroger du regard, il ne répond jamais d'autre manière qu'en lovant son bec contre ma peau. Et comme c'est doux et chaud au toucher, je ne m'en sépare pas dans l'immédiat. Sans doute que ce n'est qu'une question de temps avant de trouver réponses à mes questions... en réalité, je voudrais juste oublier ces sujets qui troublent mon esprit. Parce qu'il me faut avancer, je me relève en gardant mon animal dans mes bras et me remis en marche. J'avais encore le visage un peu douloureux des coups que j'avais essuyé mais déjà, je ne m'en sentais plus gêné. Je soulevais des gerbes de sable à chaque pas que je faisais. Ce jusqu'à buter sur une surface plus dure et m'échouer sur le sable. Basculé sur le côté pour ne pas écraser Kloug, je suffoquais sur le dos des quelques grains qui s'étaient insinués dans ma gorge. Face contre le ciel, je devais fermer les yeux pour ne pas me les brûler. Mais sans que je ne me l'explique, le chaud du soleil cessait de me faire mal aux paupières. Et c'est au dernier moment seulement que je vis ce bras épais et mal construit vouloir s'abattre sur ma face. Je fis le tonneau d'un côté et parvins à ne pas me faire pulvériser dans la semoule. Je sortais à nouveau mon épée dans le vif. Mes jambes ramèrent dans le sable avant que je ne réussisse à prendre de la vitesse mais, au final, j'arrivais à faire front et répondre à l'esprit de roche qui venait de faire irruption. Epée gardée le long de mon bras, je parvins à lui faire goûter ma lame d'un simple mouvement du poignet. Et cette souplesse m'apparut dans l'instant comme la porte ouverte à quelque chose d'allègre et de sans limites. Alors, dansant sur mes pieds, dans les vagues de sable, je tournais sur moi-même, comme si j'avais pu regarder les courants d'air et qu'ils m'invitaient à leur ronde. De grandes hélices faisait mon arme jusqu'à ce que le monstre éclatait, plus vite encore que ses prédécesseurs. Pas une fois dans ce combat je n'étais tombé. Mon cœur cognait dans ma poitrine, je m'en sentais vivifié. Et le regard approbateur de mon acolyte à plumes ne fit que me réconforter plus encore.

Recap:

J'allais ramasser l'item tombé du monstre quand le sol se mit à vrombir sous mes pieds. Le sable mugit et je vois la petite tâche blanche mouchetée de rouge qui détale comme un rat à mesure que les secousses prennent de l'ampleur. Je n'ai pas le temps de formuler une seule question dans mon esprit que je me sens soulevé par en dessous. Comme une grosse rafale qui me fait décoller les pieds du sol, je suis projeté loin dans les airs. Ma chute est longue, j'ai le temps de l'estimer, de sentir mon estomac se soulever en l'absence d'apesanteur. D'en haut, je peux le voir, il a quelque chose de différent des autres, de plus menaçant. Mais les cristaux de fer qui encombrent son dos reverbent la lumière du soleil de façon aussi intense qu'ils semblent inestimables. Mais tout ce que j'y vois, c'est l'occasion de se faire les dents sur un os plus dur à ronger. Dans les airs, je chute, dos aux dune et à mon ennemi. J'arque mon cou pour amorcer une attaque et tient bien haut mon épée pour la laisser gagner en inertie et comme ça, charger mon coup de la puissance d'Earthquake. Un rugissement féroce accompagne mon geste. J'abats ma lame directement sur le sol. L'onde de choc fait s'affaisser les dunes et je vois mon ennemi qui perd quelques uns de ses morceaux.

Mais déjà, il en redemande et, tout vibrant encore, me charge. Je roule prestement sur le sable, exécute un tour complet sur moi-même pour bondir dans sa direction et enchainer un coup à l'épée qui me fait reprendre de l'assurance dans le combat. Ce qui m'aurait aussi permit en temps normal d'instaurer une petite distance se sécurité. Mais j'avais devant moi une espèce d'élémentaire quasi immuable qui, parce qu'il avait la plante des pieds qui valait son pesant en plomb, il n'éprouva aucune difficulté à enfin me rouster comme il convient. Un coup qui me fit vriller surplace quelques secondes qui me parurent une éternité avant que je ne retombe par terre sur mon séant.

J'essuyais ma joue d'un revers de coude. Un peu de sang s'en imprégna. En me retrouvant sur mes jambes, épée tenue basse, je montrais des crocs. Anticipant sa nouvelle attaque, je me glissais dans son angle mort dès qu'il eut enclenché un mouvement et fonçais frapper ses flancs. Une fois, puis, ne lui laissant pas le temps de répondre, je continuais de tournoyer autour en laissant ma lame mordre sa chair de marbre tout du long jusqu'à faire descendre un peu plus sa barre de vie. Mon petit cirque prit fin dès que mon ennemi entreprit de m'asséner un coup de caboche en pierre qui me fit l'effet d'une cloche. Et, sonné, je ne vis pas l'uppercut qui vint redresser mon menton bien à la perpendiculaire. Un cri étouffé s'échappait d'entre mes dents. Je me ramassais cahin caha par terre, jonglant un peu sur mes appuis. Un essaim de bourdon pour tête. Je me sentais vulnérable à la moindre bourrasque. Mais la suivante n'était pa de celle qui fait danser les feuilles au vent non plus.

Ma joue prit l'impact de plein fouet, je m'écroulais à genoux à quelques pas de là. Je posais une main à terre, tâchant de reprendre mon souffle le temps que le golem évince la distance qui nous sépare. Dès que son ombre se glisse sous mes yeux, je rassemble mes force dans un dernier élan de frénésie et, comme si je dessinais un croissant de lune au couteau, portais un dernier coup à mon agresseur rutilant. Le bouquet de pixels s'éparpillait dans l'air comme un essaim. Le temps de ramasser mon butin,  Kloug me rapportait aussi du précédent golem. Ici, je marquais un instant de répit pour m'assoir sur le sable qui commençait à chauffer avec la matinée qui s'avançait. Bientôt le soleil de midi viendrait ajouter le sel de la sueur aux combats qui m'attendent.

Recap:

Il nettoie ses plumes dans le sable, c'est amusant à regarder. Ici les grains ont cette couleur crémeuse. Sans doute que la lumière des premières heures venaient y ajouter cet aspect doux et frais. Je cédais aussi à l'envie et allongeais ma tête au flanc d'une dune. Mon épée reposait à côté de moi. Elle commençait à garder les stigmates des bagarres. Au lieu d'une réparation, je songeais à la changer. Je me décidais pour quelque chose de plus lourd et sûrement que pour ça, il me faudrait remporter d'autres de ces pierres. Je prends encore le temps de fixer le ciel tant que la lumière terne de la matinée me le permets. Enfin je prends une grande inspiration et me remets sur mes deux jambes. Je ramasse aussi mon arme émoussée et frotte mes cheveux, en faire tomber les graines de désert.

Des joueurs esseulés commençaient à s'essaimer partout dans la zone. Je pressais un peu le pas pour m'enfoncer dans des endroits plus isolés encore. Posté sur un caillou plat, mon regard balayait les environs. En contrebas, je vis la falaise se mouvoir dans le giron de sa propre ombre. Je m'approchais sans prudence et ma cadence s'accéléra à l'approche de l'être visé. Mes environnement entier se faisait avaler par l'oubli. Ma pensée unique ne se matérialisait plus que dans mes gestes. J'étais la paire de main qui étreinte mon arme et mes deux chevilles qui mordent le sable et qui en projettent des pans à chaque pas.

Le monstre s'aperçoit vite qu'il est proie à quelque chose d'hostile. Il se focalise aussitôt sur moi dès que j'entre dans son champ d'action. Il attaque le premier, agitant un de ses bras de rocaille. Je profite de mon élan pour me laisser déraper sous sa poigne et l'attaquer dans sa garde intime. Des cailloux ricochent sur ma lame quand je fais mouche. Mais arrive inexorablement le revers de son bras. Il m'attrape par la tête, comme s'il se servait un fruit. L'impuissance gagne tous mes muscles, c'est terrible de se sentir fragile comme ça, c'était pour moi une sensation rare. D'un geste bref, il me rabat par terre. Comme quand on frappe les épis de blés. C'est ça, je ressemble à un épi.

Étendu sur le ventre, je tâche de me relever aussi vite que possible, mais à peine suis-je remonté sur mes quatre pattes que le golem écrase ses poings liés sur mon dos. Je suffoque, comme si mon esprit allait s'extraire de force. Comme si ma conscience s'était éteinte. Un faible râle fit vibrer ma gorge.

Puis c'est comme si ma détresse et ma souffrance venaient à se convertir. Je serrais l'étau autour de mon arme et me montrai encore plus prompt à me remettre debout et dessiner de mon épée un croissant dans le poitrail de mon ennemi. Dans cette frénésie, j'en taillais un second, dans l'autre sens, inscrivant un X qui suffit à le supprimer de mes parages.

Recap:

Un craquement sec qu'émet mon dos m'arrache une grimace. Je me cambre dans le sens de la douleur jusqu'à n'en plus pouvoir. Tant que mon corps n'en arrive pas à ses limites, j'irais aussi loin qu'il pourra me porter. Prostré à l'ombre de la formation rocheuse, je m'amusais à en toucher la paroi obscure. Je me surprenais à sentir un peu de lichen sous ma paume. Demeuré dans le sillage de cette ombre, je progressais lentement. Mu par le silence qui imprégnait le lieu. Où quelque cloportes subsistaient contre l'hostilité de leur environnement. Il avaient trouvé leur oasis.

J'arrivais jusqu'à ce qui avait l'air d'une simple brèche, mais à y jeter un oeil, je découvris que ce mince interstice aboutissait à une sorte de caveau plus large. De là, je m'aplatissais entre les deux pans de roche et arrivais jusqu'à la salle. C'en était mathématique. Je trouvais là, sans surprise, un autre de ces esprit des minerais. Il tournait autour d'un amas de pierre. Dans ma main, mon épée cliqueta. Le son se réverbéra entre les parois de la caverne et attira l'attention de son hôte. Je gardais ma position, dos à la sortie. Une fois que le monticule de roche ambulant se soit rapproché, je me contentais d'un pas en arrière. L'étroitesse du couloir ne lui permettait pas d'avancer sur mon tertre. Je le vis jouer des mains, tenter de m'attaquer. Je l'observais, immobile puis élevais mon épée au dessus de ma tête. De cette manière, je le frappais à trois reprise avec autant de vigueur que possible. L'être composite s'éparpilla à mes pieds. Je m'en sentais un peu triste. Alors je ne m'éternisais pas dans ce lieu.

Rebroussant mon chemin, je retrouvais la lumière du jour, nouveau minerai en poche. Et dehors, comme un retour du destin, un attroupement de hamsters joufflus attendaient là, et chacun d'entre eux me prirent pour cible...

Recap:

Mon sang ne fit qu'un tour. J'appelais Kloug en hurlant, il se rapatria vers moi en virevoltant au dessus des rongeurs. Alors que je gardais mon attention rivée sur la progression de l'oiseau, l'un des hamster se rua sur mon bras et l'étreint dans ses dents. Tout en grognant, j'agitais ma main pour me débarrasser de son joug. Mais tandis qu'il n'en démordais pas, les autres amorçaient leur propre offensive.

Comme poussé d'un coup de jus, je fis volte face et rentrais dans la caverne. Le bruissement des plumes de Kloug me précédait de peu. Après quelques enjambées, je parvins à me défaire du hamster, mais très vite, ses compères investissaient la caverne. J'escaladais de quelques bonds le monolithe qui trônait au centre de la pièce. Je manquais de me faire happer par la cheville mais le monstre ripa sur la paroi.

De là, je me retournais pour tenter d'évaluer la situation. Les rongeurs n'avaient pas de scrupules à s'escalader mutuellement pour tenter de m'atteindre. Mon pouls s'accélère et ma mâchoire se crispe à m'en faire mal. Ça turbine, je n'ai pas l'embarras du choix. J'attrape Kloug par la peau du cou et le projete plus loin au fond de la grotte. De là, je m'empare de mon arme et la retourne pointe vers le sol. Les effluves fauves de la peau des hamsters sature mes narines. Je concentre ma force dans mes mains et, joignant à mon geste un rugissement, plante la lame dans le roc contre lequel mes ennemis se sont agglutinés, le même qui me sert de promontoire.

Earthquake m'aide à crever la pierre jusqu'à son coeur. Dans tous les sens, des éclats minéraux fusent. Les hamsters disparaissent dans les gravats et la secousse. Moi, je m'écroule au même titre que mon perchoir. D'épais nuages de sable se soulèvent. Je tousse sur mon lit se pierre. Mes membres articulés autour des aspérités du monticule, je peine à me relever. Puis, au moment de me redresser sur mes coudes, Kloug finit d'escalader les débris et vient se poser sur mon ventre. Je remarque qu'il rechigne moins à user de ses ailes pour se déplacer. De l'avoir lancé tout à l'heure l'a contraint de faire appel à celles-ci, amortir sa chute. Je ne pouvais pas prétendre en faire autant... Au moins, j'espérais sortir de là en ayant proprement écumé ma dette...

Recap: