Franchement, j'étais assez heureux quand j'avais eu SaO-R, malheureusement je ne pouvais pas l'essayer tout de suite, ce qui m'as rendu très impatient, j'avais nettoyé mon Nerve-Gear pour l'occasion. Étrangement, je n'avais pas peur pour ma vie, c'est vrai qu'un jeu basé sur un jeu qui a fait des milliers de morts peut faire peur.
Personnellement, je n'avais pas peur. Une fois arrivé chez moi, il était 19:30, après avoir mangé ma pizza, je m'empressais de rejoindre ma chambre, où le Nerve-Gear m'attendait patiemment, je mettais le casque sur ma tête et le jeu dans la console, puis, je prononçait les deux mots ''magiques''
- Link Start !J'avais l'impression que mon corps me lâchais et que je n'étais plus qu'une âme flottante. Une fois arrivé au menu principal, on me demandait de créer mon avatar (ce qui étais bien sur normal)Bienvenue dans Renaissance !
Veuillez Créer Votre Avatar.
Nom du Personnage : Aizen
Faction : Le Sultanat de Tel Alaneim
Arme de Prédilection : Épée Courte
Une fois tout cela rempli, je pus enfin rejoindre le monde virtuel de Renaissance, la première fois était bizarre, il fallait que je m'habitues au skin de mon avatar. Je n'ai à peine eu le temps de faire une quête que je fus téléporté vers la zone de départ, et je ne penses pas être le seul à avoir été téléporté. Environ 400 000 personnes fut téléporté.
Une silhouette sinistre planant au-dessus de l'assemblé apparut, nimbée d'ombre, on entendit une voix provenir de cette silhouette, elle disait qu'on était bloqué ici, et que si on mourrait une fois, on mourrait dans la vrai vie, et que pour se libérer, il fallait finir le jeu. il nous saluait et nous téléporta à nos zones respectives. Et j'ai était en suite victime de la théorie des Cinq Stades de la Mort.
Il y'eu le déni, et oui, je ne voulais pas croire à ça et pensais que j'étais dans un rêve et que je vais me réveiller.
Ensuite la Colère, ce fus difficile à gérer et je m'en prenais à tout les murs de l'avenue.
Le Marchandange ? on va dire que ce sont les quatre stades de la mort.
La Dépression, que dire de la dépression ! C'était devenu de la folie pur, je rigolais... pleurais. Mais tout alla bien ensuite.
Et ensuite l'acceptation, après beaucoup de pleurs, je me décidais fermement à finir ce jeu, pour venger tout ce que qui sont morts pendant cette soirée, pour un jour espérait sortir de cette Enfer Pixelisé...